La redistribution effectuée par la protection sociale que nos parents ont réussi à mettre en place ne cesse de subir les coups de rabot de politiques publiques qui n'atteignent même pas leurs promesses. La pauvreté dans l'abondance explose, de plus en plus de familles peinent à se nourrir et les entreprises, à part quelques grands groupes et quelques secteurs d'activité, peinent à faire vivre leur collectif de travail.
La répartition de la valeur ajouté et la maîtrise due aux collectifs de travail sur la marge d'exploitation qu'ils produisent sont deux thèmes qui doivent être portés par le programme d'une gauche politique et des organisations syndicales salariées unies pour donner aux citoyens une lucidité susceptible de répondre aux défis des temps que nous vivons.