Pour s'en réjouir (les libéraux) soulignent la faiblesse de la syndicalisation. Cette faiblesse pose un vrai problème de démocratie sociale instrumentée par la loi travail qui légalise le populisme social du référendum d'entreprise. Faudra-t-il attendre la fin d'une grande catastrophe comme la guerre pour revivre une période de progrès largement expliquée par le succès de l'adhésion syndicale CGT?