Que faire face au temps qui fuit ? Comment être libre dans un monde nécessaire ? Comment donc vivre "en suivant la nature" ?
Ce début de vingtième siècle est marqué par un retour du religieux et des souffrances qu'il entraîne. On tue au nom de dieu. On exclut par peur de disparition de sa foi. Le migrant est rejeté, ignoré, sa mort est banalisée.
Il faut se contenter du monde. Le temps est la seule richesse effectivement propre à chacun. "Il n’y a que le temps qui soit nôtre. Ce bien fugace, glissant est l’unique possession que nous ait départie la nature." (Sénèque, Lettres à Lucilius, Première lettre, éditions Les Belles Lettres, traduction Henri Noblot, 1955).
Ce début de vingtième siècle est marqué par un retour du religieux et des souffrances qu'il entraîne. On tue au nom de dieu. On exclut par peur de disparition de sa foi. Le migrant est rejeté, ignoré, sa mort est banalisée.
Il faut se contenter du monde. Le temps est la seule richesse effectivement propre à chacun. "Il n’y a que le temps qui soit nôtre. Ce bien fugace, glissant est l’unique possession que nous ait départie la nature." (Sénèque, Lettres à Lucilius, Première lettre, éditions Les Belles Lettres, traduction Henri Noblot, 1955).
Intervenant
- Christelle Veillard : maître de conférences en Philosophie antique à à l'Université Paris Ouest – Nanterre-La Défense
Les stoïciens : une philosophie de l'exigence; Ellipses, 2017